Ø Quand ça ne veut pas ...

Les bracelets rouges 

(Albert Espinosa, Le livre de poche, 180 pages, 6.90 euros)

Arrêté à 75 pages

En débutant ce livre, je m'attendais à me replonger dans l’atmosphère de la série diffusée sur TF1, que j'avais vraiment adoré. Malheureusement, je me suis retrouver avec, entre les mains, un livre uniquement orienté "conseils". 

Albert Espinosa nous explique et nous offre les conseils qu'il a reçu lors de ses hospitalisations suite à ses cancers. 

En soit, je l'ai abandonné parce que je n'avais pas du tout envie de lire un livre remplis de conseils, mais je retenterais certainement l'expérience prochainement.

Comment sauver le monde ? (de chez soi !)

(Laurence Labbe, Auto-édition, 180 pages, 8.55 euros)

Arrêté à 63 pages

Ce roman me tentait vraiment. Première pour la couverture, mais aussi pour le résumé qui me vendait du feel-good et de l'humour.

Mais finalement, je me suis retrouvée embarquer dans une histoire que je ne comprenais pas vraiment. Ce qui m'a, je pense, le plus dérangé, c'est l'histoire de base que j'ai trouvé étrange...

Malgré tout c'est un bon roman rempli d'humour, simplement il ne m'a pas convaincue sur le moment, malheureusement.

 Ta putain de vie commence maintenant !

(Louise Pasteau, Albin Michel, 93 pages, 7.90 euros)

Arrêté à 40 pages

Si vous me suivez sur instagram, notamment en story, vous savez à quel point j'ai eu du mal avec ce livre ...

Cet ouvrage ce veut, à la base, être une lettre aux adolescents... Mais en ce qui concerne cet appellation, elle me gêne.  Effectivement tu ne peux pas dire à un adolescent "Si tu a les dents de travers, vas chez l’orthodontiste, si tu est gros fait un régime. Mais en tout cas démerde toi." A mon avis, au contraire de ce que l'autrice, quand on a un soucis, il faut se faire aider. 

Maintenant, je suis d'accord avec ce que l'autrice énonce mais avec la forme qu'elle a employé, tout m'a paru agressif et sous forme "d'ordres" un peu. 

En fait, si j'ai arrêté cet ouvrage, c'est surtout du à la façon qu'à l'autrice d'interpeller le lecteur. Comme je le disais au dessus, le ton qu'emploie Louise Pasteau m'a paru beaucoup trop agressif et familier.

Même si c'est destiné aux adolescents, on peux leur parler comme à des grandes personnes et non comme a des enfants... voilà voilà.