Ø Trop de longueurs tue les longueurs


Dix minutes de dingue

(Jean-Christophe Tixier, Syros - Souris noire, 170 pages, 6.95 //Stop à 56 pages//)

En le demandant sur la plateforme Lecteurs.com, je savais que ce roman était jeunesse, mais premièrement, je ne pensais pas autant.
De plus, j'ai trouvé que l'action n'était pas du tout au rendez-vous et je tardait à m’immiscer dans l'univers de l'histoire.
Mon abandon est donc dû à ces deux principales raisons.

(Je remercie Lecteurs.com pour l'envoi de ce roman)

L'été circulaire
(Marion Brunet, Albim michel, 265 pages, 18 euros //Stop à 127 pages//)

Dans ce roman nous suivons Céline et Jo'. L'une des deux soeurs tombe enceinte et décide de taire l'identité du géniteur de son enfant. 
Voilà tout ce que je sais à, presque, la moitié du roman. Mon abandon est dû à cela ; la longueurs de l'histoire et au fait que ç n'avançait pas.
Alors que l'histoire se déroule de nos jours, l'écriture de l'autrice nous plantait dans une ambiance datant plutôt des années 70 et cela m'a gênée.

(Je remercie Lecteurs.com pour l'envoi de ce roman)
Tim au coeur d'or
(Olivia Quetier, Editions les lys bleus, 280 pages, 13.90 euros //Stop à 50 pages//)

Je regrette d'avoir commencé ce roman à cette période de l'année. Effectivement, je pense que si j'avait été dans un mood plus sombre, je ne l'aurais pas laissé de côté...
Avant de parler de l'histoire, je tiens à dire que je retenterais l'expérience, plus tard.
Dans cette histoire nous suivons Tim, passionné par le dessi, une situation familiale merdique et un chemin d'avenir prédéfini par ses professeurs. Malgré tout il va tout faire pour tenter de suivre sa voie.
Pour le peu que j'en ai lu, j'ai trouvé le roman trop sombre, sans espoir apparant...

(Je remercie Olivia Quetier pour l'envoi de son roman)

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